FRANCE REFLEXION
L'AMBITION EST NOBLE SANS LA COMPETENCE C'EST UN CRIME
LA REUSSITE
Quelques type de "réussite" :
- Réussite personnel (familiale par exemple) ;
- Réussite professionnelle réelle : Créer son entreprise, créer des emplois, faire vivre des familles, gérer et conduire son entreprise avec loyauté, honnêteté et toute indépendance ;
- Réussite professionnelle dite de « carriériste » : « grimper » les échelons au fur et à mesure de la vie (c’est long et difficile bien souvent) ;
- Réussite par la méthode du « chat rampants » : on s’agrippe aux autres, à ceux qui ont de l’influence et du pouvoir, (parfois, on va jusqu’à accepter des faveurs sexuelles s’il le faut) , on « harcèle » ces gens influents et puissants, on tourne autour d’eux comme des vautours, on présente un discours qui aiment entendre : la méthode peut paraître « sales » mais c’est la méthode qui permet une ascension (lorsque « la prise » est réalisée) la plus fulgurante qu’elle soit. Pour y parvenir, il faut une grosse dose de culot, se mentir à soi-même en permanence afin d’y trouver une certaine dignité et une certaine moralité… Cette méthode donne des résultats spectaculaires. Ici ce ni la compétence, ni l’expérience, ni les convictions qui priment mais le paraître et le racolage auprès des gens influents et puissants, le mensonge et parfois la trahison.
On dit que la qualité première d'un chien ou chienne, c'est la loyauté aveugle envers son maître.
Ci-dessus un exemple de ce type :
Curriculum Vitae
Rachida DATI (adresse : voir l'adresse des Gaullistes) 41 ans, célibataire, pas d’enfants. |
MINISTRE GARDE DES SCEAUX – Ministre de la Justice –
EXPERIENCES PROFESSIONNELLES |
Mai 2007 |
Matignon : Garde des Sceaux, Ministre de la Justice |
2005-2007 |
Conseiller en charge du projet de loi sur la prévention de la délinquance auprès de Nicolas Sarkozy (ministre d'État, ministre de l'Intérieur et de l'Aménagement du territoire) |
2004-2005 |
Directeur général adjoint en charge des marchés publics, des affaires juridiques et des affaires foncières et immobilières au Conseil Générale des Hauts-de-Seine |
2004-2004 |
Conseiller au Cabinet de Nicolas Sarkozy (ministre d'État, ministre de l'Économie, des Finances et de l'Industrie) |
2002-2004 |
Conseiller technique en charge du projet de loi sur la prévention de la délinquance au cabinet de Nicolas Sarkozy (Ministre de l'Intérieur, de la Sécurité intérieure et des Libertés Locales) |
2001-2002 |
Substitut du procureur de la République à la section financière près du tribunal de Grande Instance d'Évry |
1999-2001 |
Juge Commissaire aux procédures collectives au tribunal de Grande Instance de Péronne |
1998-1999 |
Auditeur de justice au tribunal de grande instance de Bobigny |
1997-1999 |
Élève à l'École Nationale de la magistrature (ENM) |
1994-1997 |
Conseiller technique à la direction juridique du ministère de l'Éducation nationale |
1994-1995 |
Contrôleur de gestion et Secrétaire générale du bureau d'études sur le développement urbain à la Lyonnaise des eaux |
1993-1994 |
Audit interne à la BERD (Banque Européenne pour la reconstruction et le développement) à Londres |
1990-1993 |
Audit interne au groupe Matra Communication |
1987-1990 |
Comptable chez Elf Aquitaine |
1984-1987 |
Aide Soignante Saône et Loire en Côte-d'Or |
Avant 1984 |
« Jobs d’été » : Vente produits cosmétiques (porte à porte) |
FORMATION |
1997 – 1999 |
Ancienne élève de l'Institut supérieur des affaires (ISA "filiale" d'HEC) |
1998 – 1999 |
Maîtrise en droit public ; |
1997 – 1998 |
Licence et Maîtrise en Sciences Économiques (gestion des entreprises) – Équivalent à une MSG – |
1987 – 1990 |
Diplôme d'Études universitaires générales (DEUG) de sciences économiques |
Avant 1987 |
Écoles primaires et Collège le Devoir et Lycée Mathias à Chalon Sur Saône |
CENTRES D'INTERETS |
Club « Le Siècle » |
Membre du Club "Le Siècle" (Club « Gaulliste ») |
Club de l'Institut Montaigne |
Membre du Club de l'Institut Montaigne |
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Un grand intérêt surtout pour le « relationnel » de préférence avec les gens les plus influents que possibles (ceux qui côtoient le pouvoir et qui ont le « bras » long), opportuniste, arriviste. Surnommé souvent « L’Arabe de Service ».
Décorticage du Curriculum Vitae
Rachida DATI 41 ans, célibataire, pas d’enfants. |
MINISTRE GARDE DES SCEAUX – Ministre de la Justice –
C’est l’expérience (au sens large) assidue et continue avec de la patience de plusieurs années combinées avec une solide formation technique dans chaque domaine et une réelle implication qui permet à une personne d’apporter réellement une certaine efficacité tout en évitant des erreurs. A ceci, la combinaison d’une détermination, d’une dextérité, d’une ténacité et l’acquisition d’une grande culture générale qui permet réellement de maîtriser les concepts de son environnement, du fonctionnement des « systèmes » (au sens large).
Ici il n’y a rien de tout cela à part beaucoup de brassage d’air avec quelques diplômes grâce à l'argent de ceux qu'on a racoller.
Née le 27 novembre 1965 à Saint Rému (Saône et Loire) fille de Mbark Dati ouvrier maçon marocain et de Fatim-Zohra Delhoum (Algérienne).
Elle passe une partie de sa scolarité dans une école privée catholique pour jeunes filles de la bourgeoisie provinciale encadrées par des religieuses.
A 16, elle est aide-soignante de nuit dans une clinique privée (Elle y dévore les magazines trouvés dans les salles d'attente et s'en inspire pour forger ses premières ambitions. La jeune "beurette" est fascinée par certaines personnalités croisées dans la presse, à qui elle écrit sans cesse)
A partir delà, elle essaye de participer à toute réunion mondaine en espérant y trouver des gens connus, influents et puissants. Cet exercice fini par payer.
- 1989 : Elle réussit à se faire inviter à une réception donnée à l'ambassade Algérienne, elle y rencontre
Albin Chalandon ([i]) ministre de la Justice, ancien PDG d'Elf :
. il lui obtient un poste de comptable chez... Elf !
. mais pas seulement...
- 1990 : Elle rencontre ensuite Jean-Luc Lagardère lors d'un gala où sa soeur est récompensée par
la Fondation Vocation :
. il lui obtient un poste d'Audit chez... Matra Communication
. mais pas seuelemnt...
- A partir de là : elle rencontre Marceau Long, vice-président du Conseil d'Etat qui lui ouvre les portes de la
blibliothèque du Conseil. Elle rencontre aussi Simone Veil. Marceau Long et Simone Veil vont
lui conceiller de passer les concours du barreau. Simone Veil dira : "...j'ai rencontré Rachida
Dati lorsque j'étais au ministère de la Santé et responsable de la politique de la ville...
je lui ai conseillé de ne pas continuer à passer d'un dossier à l'autre et de s'investir dans
la magistrature...". De Simone Veil, elle rencontrera aussi Jacques Attali
qui lui proposera un siège au Conseil d'administration de son ONG "PaNet Finance".
- Elle rencontrera également toujours vers 1990, Jean Luc Lagardère :
. Elle se fait "pistonner" Auditrice interne chez Matra Communication ;
. Il lui paiera même une formation de MBA (qu'elle ratera visisblement) qui la mènera à un stage à
Londres à la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (Berd)
- Dans cette démarche, elle ne s'arrêtera pas là, toujours avide de pouvoir et les dens de plus en plus longues, elle finira par rencontrer... Nicolas Sarkozy ([ii]) !
Imaginez, ce n'est qu'en décembre 2006 qu'elle s'insrit à l'UMP. Jusque là, personne ne connaissait "son idéologie" (si tenté qu'elle en ait une). Immédiatement elle devient porte-parole du candidat !
Mais le plus fort c'est une fois Sarkozy président, elle devient "automatiquement" : Garde des "Sots" (non ce n'est pas une faute d'orthographe : c'est bien "Sots" qu'il faut lire !).
Elle dit elle-même : « Pierre de Bousquet, Marceau Long et Simone Veil m’ont conseillé de faire l’Ecole nationale de la magistrature. S’ils m’avaient dit de faire n’importe quoi d’autre, je l’aurais fait, de la même manière... »
Simone Veil dit d'elle : "...que sa plus grande qualité : c'est la loyauté..." (comme les chiens et chiennes)
A partir de sa rencontre d'Albin Chalendon, tous les postes obtenues, l'ont été grâce au "piston" (et non grâce au mérite) !
A la moindre difficulté, elle dira qu’elle est issue d’un milieu très défavorisées qui n’a jamais eu de chance...
Elle n'est habitée que par la vanité, la cupidité, l’arriviste et l’adoption d’un "état général" qu’on essaye de préserver en France que sont l’hypocrisie, la traitrise, le « faux-cul ».
Soyez « faux-cul », soyez hypocrite, soyez traite au bon moment et vous êtes sûr d’être récompensé. C’est épouvantablement dangereux pour une justice d’avoir un tel personnage en son sein. En réalité, vive la répression et toutes les décisions binaires.
Ceci est un exemple parfait et réel (malheureusement) de l’existence du serpent rampant continuellement sous le sable : il s’appelle… « Le Gaullisme » : une dictature qui ne dit pas son nom. Ceux qui s’en approche et qui en adopte les yeux fermés la doctrine sont très récompensés. Les autres, ceux qui ont du bon sens, qui ont réellement une moralité, une profonde conviction… : on s’ e n f o u t et bien au contraire, on les étouffe le plus possible.
A propos de Sarkozy : quand on vous dit qu’il est dangereux, ce n’est pas un pléonasme.
Jacque Delors dit un jour à peu près ceci : "...le mensonge en politique est la meilleure façon de grimper..."
Avis à ceux qui veulent « réussir vite » : si vous êtes un excellent orateur, que vous êtes super doué en mensonge et en manipulation des autres, que vous avez du culot mais surtout que vous soyez un Faux-Cul de première ordre, une hypocrisie à toute épreuve, bref tout sauf vrai et franc et que vous soyez capable de vous accoler auprès des "tout puissants" sans vous poser de question... alors vous pouvez réussir et devenir un jour pourquoi pas Président de la République de France ou même... des Etats-Unis.
Tibault De Malendrin
Albin Chalandon
PDG d'ELF
1977/1983
Albin CHALANDON |
Né le 11 juin 1920. Licence de lettres ; diplôme d'études spécialisées de philosophie. Inspecteur des finances ; attaché au cabinet de Léon Blum, président du gouvernement provisoire (1946-1947) ; chargé de mission au cabinet du ministre des Finances René Mayer (1947-1948) ; membre du comité de réorganisation de l'aéronautique (1948) ; délégué général adjoint à l'action ouvrière et professionnelle du rassemblement du peuple français (1948) ; directeur de la B.N.C.I.-Afrique (1950-1951) ; administrateur-directeur général de la banque commerciale de Paris (1952) ; trésorier puis secrétaire général (1959) de l'union pour la nouvelle République (U.N.R.) (1958-1959) ; P.D.G. de la société des grandes entreprises de distribution (Inno-France) (1962-1963) ; P.D.G. de la société d'études, de réalisation et de documentation immobilière (S.E.R.D.I.) et de la banque commerciale de Paris (1964-1968) ; ancien administrateur d'Inno-France, des sucreries d'outre-mer, de la compagnie franco- africaine de recherches pétrolières ; membre du conseil supérieur du Plan ; conseiller économique et social au titre des personnalités qualifiées pour leur connaissance des problèmes économiques et sociaux (1964-1967) ; député Vème République des Hauts-de-Seine (1967-1968) ; membre du bureau exécutif de l'U.D. Vème (1967) ; ministre de l'Industrie (mai-juillet 1968) ; député des Hauts-de-Seine (juin-août 1968) ; ministre de l'Équipement et du Logement (1968-1972) ; député des Hauts-de-Seine (1973-1976) ; parlementaire en mission auprès du ministre des Affaires étrangères (1974) ; secrétaire général adjoint de l'U.D.R. (union de défense de la République) (1974-1975) ; chargé d'une mission temporaire auprès du ministre de l'Industrie et de la Recherche (1976) ; président de l'entreprise de recherches et d'actions pétrolières (E.R.A.P.) (1977-1980) et d'Elf-Aquitaine (1977-1983) ; député du Nord (1986). |
LES CRITIQUES D’ALBIN CHALANDON.
L’ancien ministre RPR,
dans un article que publie « le Monde » du 10 décembre, écrit notamment : « Le plus choquant dans cet accord du GATT n’est pas la volonté de développer la liberté des échanges, mais la façon discriminatoire dont on envisage de le faire. La CEE, dans son enthousiasme libre-échangiste, accepte le désarmement complet, sans même se doter en contrepartie de la moindre clause de sauvegarde en cas de danger pour son économie (...). Appliquer le libre-échange intégral à des pays dont les structures divergent incommensurablement ne peut que conduire au démantèlement de la protection sociale et de l’emploi. Depuis vingt ans, nous avons cyniquement sacrifié l’emploi pour maintenir nos avantages sociaux. Comme si l’un pouvait aller sans l’autre ! Demain, nous serons obligés de sacrifier les deux, car il existe une incompatibilité croissante entre le concept de libre-échange et la politique sociale dont nous nous sommes dotés (...). La Communauté ne devrait pas, en tout cas, ouvrir ses frontières sans se doter des moyens de les fermer dès qu’un danger se manifeste. Ce ne serait pas le retour au protectionnisme, mais le progrès d’un libéralisme tempéré, c’est-à-dire « équitable et équilibré », selon l’expression du premier ministre. »
Article paru dans l'édition du 10 décembre 1993.
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[ii] Parcours de Nicolas Sarkozy
Nicolas Sarkozy, né en 1955 à Paris, est le fils d'un Hongrois réfugié en France après la guerre. Militant âgé de 20 ans, il se fait remarquer à l'UDR par un discours où il proclame: "Etre gaulliste, c'est être révolutionnaire". Il devient également avocat. AFP |
A l'UDR, il est rapidement repéré, notamment par Charles Pasqua, qui sera témoin à son premier mariage, et Achille Peretti, maire de Neuilly, qui le fait entrer au conseil municipal. N. Sarkozy rejoint ensuite le RPRen 1976, après sa création par Jacques Chirac. AFP |
Le maire de Paris et président du RPR Jacques Chirac s'entretient le 24 mars 1981 à Paris avec Nicolas Sarkozy, alors âgé de 26 ans, membre du comité central du RPR (1979), chargé de la jeunesse. AFP |
Achille Peretti décède en 1983. Nicolas Sarkozy fait campagne pour lui succéder. Il double ainsi l'héritier désigné, son ami Charles Pasqua, au cours d'une première trahison. Il remporte la mairie de Neuilly. Ici, après sa victoire avec sa première épouse, Marie-Dominique Culioli, fille d’un pharmacien. AFP |
N. Sarkozy, entouré de Michèle Alliot-Marie, Jacques Chirac, Alain Juppé et Patrick Ollier. Jacques Chirac salue les militants à son arrivée à l'université d'été du RPR à La Baule. 4 septembre 1988. AFP - Michel Plassart |
Premières responsabilités gouvernementales en 1993. Le jeune député et maire devient ministre du budget sous le gouvernement, dont il est également porte-parole. Edouard Balladur en est le Premier ministre. AFP - Joël Robine |
Edouard Balladur défie Jacques Chirac dans la course à la fonction suprême en 1995. Nicolas Sarkozy, ministre de la communication depuis 1994, lui apporte son soutien. Jacques Chirac remporte la victoire. Pour Nicolas Sarkozy, c'est le début de la traversée du désert |
Nicolas Sarkozy, Eddy Mitchell et Cécilia Ciganer-Albeniz au mariage de Johnny Halliday, le 25 mars 1996. N. Sarkozy avait refait sa vie avec Cécilia en 1989, alors qu'elle était attachée parlementaire. Il l'épousera fin 1996, avec pour témoins Martin Bouygues et Bernard Arnault - AFP Michel Gangne |
En 1997, après le retour de la gauche au pouvoir suite à la dissolution de l'Assemblée nationale, Nicolas Sarkozy débute son retour en grâce en occupant, avec Philippe Seguin, la direction du RPR. AFP - Michel Gangne |
Mais ce retour ne dure pas : les élections européens de 1999 sont un échec. Nicolas Sarkozy arrive derrière la liste de C. Pasqua. Ici, son pupitre reste vide après l'annonce de sa démission à la présidence par interim du RPR, le 14 juin 1999. AFP - Thomas Coex |
Suite à son échec aux élections européennes, Nicolas Sarkozy aurait douté de son avenir politique. Il reprend ses activités d'avocat-conseil de LVMH et Bouygues Télécom, écrit des scénarios. Ici, à l'université d'été du RPR. AFP - Gérard Malie |
Mais Nicolas Sarkozy publie, en 2001, un livre-programme intitulé "Libre". ll renoue avec les chiraquiens. Ici, avec le président du groupe à l'Assemblé nationale, Jean-Louis Debré, et la présidente du RPR, Michèle Alliot-Marie, lors de l'anniversaire des 25 ans du parti. AFP - François Guillot |
En 2002, N. Sarkozy est nommé ministre de l'Intérieur. A son actif, une loi controversée sur la sécurité intérieure (dispositions relati ves au racolage passif, à l'installation illégale des gens du voyage, la mendicité, l'informatisation de fichiers à usage policier. AFP - J. Guez |
En 2004, Nicolas Sarkozy est nommé à la tête du ministère de l'Economie. Il prépare l'ouverture du capital d'EDF et privatise France Telecom. Il allège des impôts (droits de succession, solidarité sur la fortune, fiscalité du PACS notamment). AFP- J.Guez |
Juin 2005. Après l'échec du référendum à la Constitution européenne, désavoué, J. Chirac se prononce pour un "nouvelle impulsion". Il choisit le fidèle D. de Villepin pour succéder à J-P Raffarin à la tête du gouvernement. N. Sarkozy retrouve la direction de l'Intérieur. AFP - P. Kovarik |
Le 28 octobre 2005, après la mort de deux adolescents dans un transformateur EDF, une émeute éclate dans certaines villes de banlieue. N. Sarkozy adopte une ligne dure. il est accuser de jeter de l'huile sur le feu. Ici, un policier en position de tir à Clichy-sous-bois. AFP - Joël Saget |
Nicolas Sarkozy suscite la controverse chez certaines corporations telles que les magistrats et les pompiers. Ses positions sur immigration lui sont également reprochées. L'emploi des mots "karcher" et "racaille" reste gravé dans les mémoires et lui attire l'ire de la gauche. AFP - M. Gangne |
L'affaire Cleastream est au centre de la vie politique au printemps 2006. N. Sarkozy se porte partie civile. Suite à cette guerre au sommet, D. de Villepin, également affaibli par l'opposition d'une majorité des Français au CPE, doit renoncer à ses ambitions présidentielles. Droits réservés |
28 novembre 2004. N. Sarkozy est élu à la présidence de l'UMP lors d'un show à l'américaine. Pour la première fois, J. Chirac perd le contrôle direct du parti. Il presse alors N. Sarkozy de choisir entre Bercy et la direction de l'UMP, pour laquelle opte N. Sarkozy. AFP - François Guillot |
Le 29 novembre 2006, Nicolas Sarkozy, qui n'a jamais dissimulé sa volonté de résider à l'Elysée, se déclare candidat à la Présidence de la République. Le 14 janvier 2007, seul en lice, il est désigné candidat à l'élection présidentielle à 98,1% des suffrages lors d'un scrutin interne à l'UMP |
Le patrimoine de Nicolas Sarkozy PUBLIE AU JOURNAL OFFICIEL
Assurance-vie
- Contrat d'assurance vie chez Neuflize Vie (situation du contrat au 31 janvier 2007) : 135 679 €.
- Société générale (pour un total de 1 906 487 €) :
- Sequoia sécurité assurance vie (valeur au 31 décembre 2006) : 1 860 466,48 € ;
- Sequoia équilibre (valeur au 31 décembre 2006) : 6 927,59 € ;
- Sogecvistal Gar Ass. (valeur au 31 décembre 2006) : 39 093,10 €.
- Comptes bancaires courants ou d'épargne, livrets, espèces, comptes courants de société
Plans Epargne logement (au 31 décembre 2006) :
Pierre : 12 809,10 € ;
Jean : 12 809,10 € ;
Louis : 37 678,47 € ;
Cécilia : 5 979 € ;
Nicolas : 5 979,33 €.
Codevi
Cécilia : 5 843,12 € ;
Nicolas : 4 769,62 €.
Compte courant Société générale (au 28 février 2007) : 10 082,53 €.
Véhicules terrestres à moteur, Bateaux, avions, etc.
Austin mini (année 2006) : environ 15 000 €.
Fonds de commerce ou clientèles,
charges et offices
34 % de la SELAS Arnaud Claude Nicolas Sarkozy, société d'avocats.
Passif
- Caution pour 34 % à titre personnel d'un prêt de 7 millions de francs contracté par la SELAS pour le rachat de la clientèle.
RSociété générale :
2 emprunts pour travaux de décoration de mon appartement pour un montant total de l'emprunt de 50 000 € :
- mensualités : 627,42 € (échéance septembre 2007) ;
- mensualités : 543,4 € (échéance septembre 2009).
Curieusement, il manque sa résidence dans les Hauts De Seine ? Serait elle au nom de Cecilia ? Valeur ?
peut être plus de 2 millions d'Euros.